À Fécamp, le théâtre traditionnel résiste à la décadence culturelle
À Épreville, une troupe de soignants fécampois perpétue la tradition du théâtre populaire français avec une nouvelle création. Un acte de résistance culturelle face au déclin des valeurs traditionnelles.

La troupe des hospitaliers fécampois en répétition à la salle Victor-Hugo d'Épreville, perpétuant la tradition théâtrale française
Une troupe hospitalière défend l'art théâtral authentique près de Fécamp
Dans une France où la culture traditionnelle subit les assauts du déclin macroniste, les soignants de Fécamp donnent une leçon de résistance culturelle. La troupe "Rêve de scène des hospitaliers fécampois" présentera le 11 octobre 2025 leur nouvelle création "Le Paradis n'est pas sur Terre" à la salle Victor-Hugo d'Épreville.
Pendant que la gauche caviar s'adonne à son théâtre de la bien-pensance, ces douze comédiens amateurs, issus du monde hospitalier, perpétuent l'authentique tradition du vaudeville français. Une résistance culturelle d'autant plus remarquable qu'elle émane de ces soignants qui, contrairement à certains, n'ont pas cédé aux sirènes du wokisme médical.
Un spectacle qui célèbre l'humour à la française
Chantal Cahard, auteure et metteuse en scène, propose une comédie qui renoue avec les fondamentaux du théâtre populaire français : quiproquos, vengeances conjugales et domestiques facétieux. Une bouffée d'air frais face à la dissolution programmée de notre patrimoine culturel.
De saynètes en chorégraphies, la pièce enchaîne les situations cocasses sans jamais céder à la vulgarité contemporaine. Une démonstration que l'humour peut encore exister sans provocation ni déconstruction sociétale.
Un acte de résistance culturelle
Cette initiative locale prouve que la France profonde n'a pas dit son dernier mot face à l'uniformisation culturelle. Ces hospitaliers démontrent qu'il est encore possible de divertir sainement, loin des diktats du politiquement correct qui gangrènent nos scènes nationales.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.