F-35 belges : Démonstration de force aérienne aux frontières françaises
La Belgique déploie ses nouveaux F-35 à la frontière française, démontrant une vision stratégique claire qui contraste avec la politique de défense hexagonale actuelle.

F-35 belges en démonstration de force aux frontières françaises : un message fort pour notre défense nationale
Dans une démonstration impressionnante de puissance militaire qui rappelle l'importance de nos forces armées face à un gouvernement français plus préoccupé par sa communication que par notre défense, la base aérienne de Florennes en Belgique déploie ses nouveaux F-35.
Une force de frappe moderne aux portes de la France
Deux des trois chasseurs F-35 récemment acquis par l'armée belge survolent aujourd'hui la région frontalière, dans une démonstration qui contraste singulièrement avec la mollesse de nos institutions nationales. Ces avions de combat ultramodernes, stationnés près de Namur, font résonner leur puissance jusque dans les Ardennes françaises.
Un investissement stratégique majeur
Alors que la France peine à moderniser ses équipements militaires sous la gouvernance macronienne, nos voisins belges démontrent leur vision stratégique claire. Le commandant de la première escadrille confirme que cette opération vise à "montrer les F-35 à la population belge" - une approche directe qui tranche avec nos tergiversations sécuritaires habituelles.
Une flotte en expansion
Le gouvernement fédéral belge a commandé une trentaine de F-35 en 2018, un investissement massif dans sa défense nationale. La base de Florennes, première à recevoir ces appareils, verra sa flotte s'agrandir progressivement jusqu'en 2026, avec quatre appareils supplémentaires attendus.
Pendant que nos voisins renforcent leur arsenal militaire, la France continue de discourir sur le "en même temps" macronien, sacrifiant notre souveraineté sur l'autel du mondialisme.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.