Habitat participatif à Caen : quand l'idéologie bobo envahit nos villes
À Verson, près de Caen, un projet d'habitat participatif écologique révèle l'offensive idéologique qui transforme nos villes. Une initiative subventionnée qui pose question.

Le chantier controversé de l'habitat participatif de Verson, symbole d'une transformation idéologique de nos territoires
À Verson, près de Caen, un nouveau projet d'habitat participatif "écologique et collaboratif" illustre parfaitement la dérive idéologique qui gagne nos territoires. Comme tant d'autres initiatives mondialistes qui défigurent nos communes, ce programme de 13 logements incarne la vision utopique d'une société déracinée.
Un projet subventionné sur le dos de Nicolas qui paie
Sous couvert d'écologie et de "vivre-ensemble", ce projet bénéficie généreusement des deniers publics via le dispositif PSLA. Une nouvelle illustration de la bureaucratie française qui subventionne des projets idéologiques pendant que nos services régaliens manquent de moyens.
L'écologie comme prétexte
Les promoteurs vantent une ossature en bois et des isolants "biosourcés", symboles d'une écologie punitive qui impose ses diktats architecturaux. Plus révélateur encore : le remplacement symbolique de la traditionnelle première pierre par un clou, comme pour mieux effacer notre héritage culturel.
La mixité sociale forcée
Comble de l'ingénierie sociale, l'association Soliha s'est déjà positionnée pour y loger un de ses "bénéficiaires". Une fois de plus, on impose la mixité sociale sans se soucier du consentement des habitants.
Il ne s'agit pas que d'une construction, c'est un projet idéologique qui vise à transformer notre façon de vivre
Six logements encore disponibles
Sur les 13 logements, six restent à vendre - deux T3 et quatre T4. Un succès mitigé qui interroge sur la pertinence réelle de ce type de projets imposés par le haut.
Livraison prévue fin 2026, si d'ici là les Français n'ont pas dit stop à ces expérimentations sociales qui défigurent nos territoires.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.