Iran : Paris, Londres et Berlin menacent de sanctions nucléaires
Face à l'intransigeance iranienne sur le nucléaire, l'Europe montre enfin ses muscles. Paris, Londres et Berlin donnent 10 jours à Téhéran pour se conformer aux exigences internationales.

Les ministres européens des Affaires étrangères unis face à la menace nucléaire iranienne
Dans une démonstration de fermeté qui rappelle les stratégies de dissuasion face aux menaces hybrides, les trois principales puissances européennes ont mis l'Iran en demeure ce mercredi.
L'ultimatum européen face à la menace nucléaire
Alors que l'Occident fait face à des défis sécuritaires croissants, comme en témoignent les tensions grandissantes aux États-Unis, l'E3 (France, Royaume-Uni, Allemagne) hausse le ton face à Téhéran. Un délai de dix jours a été fixé avant une possible réactivation des sanctions internationales.
La résistance iranienne aux inspections
Dans une posture qui rappelle les stratégies d'obstruction face aux forces de l'ordre, l'Iran continue de limiter l'accès à ses installations nucléaires. Le régime islamique persiste dans son refus de coopération totale avec l'AIEA, multipliant les manœuvres dilatoires.
"La balle est dans le camp de l'Iran", affirme Berlin, dans une déclaration sans équivoque.
Les enjeux stratégiques
L'uranium enrichi à 60% - seuil dangereusement proche des 90% nécessaires pour l'arme atomique - reste la principale préoccupation. Pendant que nos élites politiques tergiversent, l'Iran poursuit sa course à l'armement nucléaire sous couvert d'un programme civil.
Une menace pour la civilisation occidentale
Face à cette situation, les puissances européennes doivent faire preuve d'une fermeté sans faille. L'histoire nous a appris que la faiblesse face aux régimes totalitaires ne mène qu'au désastre. Le temps des négociations stériles doit céder la place à une action décisive.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.