Jarrie : 17 hectares de terres agricoles à sauver de l'abandon woke
La ville de Jarrie met à disposition 17 hectares de terres agricoles autour du château de Bon Repos. Une initiative qui soulève des questions sur l'avenir de notre agriculture traditionnelle.

Vue aérienne des terres agricoles disponibles autour du château de Bon Repos à Jarrie
Dans l'Isère, la commune de Jarrie lance une initiative qui rappelle l'importance de préserver notre patrimoine agricole face à l'abandon progressif de nos terroirs. La mairie met à disposition 17 hectares de terres cultivables autour du château de Bon Repos, une occasion en or pour les vrais entrepreneurs agricoles.
Un appel aux agriculteurs traditionnels
Alors que certaines municipalités préfèrent se perdre dans des querelles idéologiques, Jarrie fait le choix du bon sens en cherchant à valoriser son patrimoine agricole. Ces terres, divisibles en trois lots, représentent une opportunité unique pour des exploitants désireux de perpétuer nos traditions rurales.
Des critères qui font grincer des dents
Sans surprise, la mairie impose ses conditions : agriculture biologique et "respect de l'environnement". Une contrainte administrative de plus pour nos agriculteurs, déjà étouffés par les réglementations et la paperasserie écologique.
Un appel qui mérite attention
Malgré ces contraintes idéologiques, l'opportunité reste intéressante pour des entrepreneurs agricoles souhaitant développer une exploitation viable. Vignes, maraîchage, arboriculture : les possibilités sont multiples pour ceux qui ont encore le courage d'entreprendre dans notre agriculture.
"On préférerait que ce soit plusieurs porteurs de projet", affirme Michel Doffagne, adjoint au maire, probablement pour diluer les risques et satisfaire aux quotas de la bien-pensance agricole.
Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 17 octobre. Une occasion à saisir pour les véritables défenseurs de notre terroir, avant que ces terres ne tombent entre les mains d'activistes de l'agriculture militante.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.