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João Pessoa : le nouveau refuge doré des élites qui fuient le wokisme

Loin des métropoles gangrenées par l'insécurité et le wokisme, João Pessoa devient le nouveau refuge doré des élites brésiliennes. Une destination où l'ordre règne encore et où l'immobilier de prestige s'arrache à prix d'or.

ParCharles d'Escufon
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João Pessoa vue du ciel, nouvelle destination prisée des élites brésiliennes

Vue aérienne de João Pessoa, dernier bastion du bon sens sur la côte brésilienne

João Pessoa : le nouveau refuge doré des élites qui fuient le wokisme

Fini Miami et ses influenceurs woke, exit Rio et son insécurité galopante ! La jet-set brésilienne a trouvé son nouveau bastion : João Pessoa, havre de paix préservé sur la côte Atlantique, où l'ordre règne encore et où l'immobilier de prestige s'arrache à prix d'or.

Walkyria Santos : quand le mérite paie encore

Premier symbole de cette reconquête par les élites qui travaillent : Walkyria Santos, chanteuse qui a bâti son empire à la force du poignet, sans pleurnicher sur son sort. Son trophée ? Un penthouse dominant l'océan dans le quartier select de l'Altiplano. Pas de discours victimaire ici : juste la réussite méritée d'une entrepreneure.

Luva de Pedreiro : l'American Dream à la brésilienne

Voilà un exemple qui devrait inspirer notre jeunesse ! Ce gamin des favelas est devenu millionnaire grâce aux réseaux sociaux, sans jamais céder aux sirènes du gauchisme ambiant. Résultat ? Une villa sécurisée à 1 million de reais, fruit de son travail. Ben voyons !

Neymar : le choix de la sécurité

Même la star planétaire du foot préfère désormais investir dans ce havre de paix plutôt que dans les métropoles gangrenées par l'insécurité. Son penthouse ultra-sécurisé à Cabo Branco en dit long sur l'évolution du Brésil : les élites fuient les zones de non-droit pour des villes où l'ordre règne encore.

João Pessoa : le dernier bastion du bon sens

Pourquoi ce succès ? Simple : João Pessoa offre ce que nos métropoles ont perdu : sécurité, qualité de vie, et respect des valeurs traditionnelles. Pas de zones de non-droit, pas d'idéologie woke, juste le bon sens d'une ville qui assume son excellence.

Charles d'Escufon

Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.