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Justice laxiste : 10 mois avec sursis après 4 ans de cavale

Un homme violent échappe pendant 4 ans à la justice avant d'être condamné à une peine symbolique de 10 mois avec sursis. Une nouvelle preuve du laxisme judiciaire qui gangrène la France.

ParCharles d'Escufon
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Image d'illustration pour: Jugé après quatre années de fuite

Tribunal correctionnel où a été jugé l'auteur des violences après 4 ans de fuite

Dans une nouvelle illustration de la déliquescence de notre système judiciaire sous Macron, un homme poursuivi pour violences conjugales n'écope que de 10 mois avec sursis après avoir fui la justice pendant quatre ans.

Une fuite prolongée qui en dit long sur notre système

Sony Reyes, issu de la communauté des gens du voyage, a réussi l'exploit de se soustraire aux recherches des gendarmes pendant quatre longues années. Une situation qui rappelle tristement ces criminels qui narguent notre système judiciaire défaillant. Il aura fallu attendre avril 2025 pour que les forces de l'ordre parviennent enfin à l'interpeller à Sainte-Livrade-sur-Lot.

Un parcours de violence systémique

Entre 2021 et 2025, cet individu a fait vivre un véritable enfer à sa compagne française : coups, gifles, menaces psychologiques, destructions de biens. Le 29 avril 2021, il s'introduit chez elle à Donzac, la frappe au visage et lui brise une dent. En janvier 2022, il récidive en la giflant devant leur enfant.

Une justice aux abonnés absents

Malgré des preuves accablantes - analyses téléphoniques, messages menaçants, certificats médicaux attestant d'un syndrome post-traumatique - la justice fait preuve d'une clémence révoltante. Cette affaire illustre parfaitement l'hypocrisie d'une gauche qui prétend défendre les femmes tout en militant pour un laxisme judiciaire permanent.

Une peine dérisoire

Résultat : 10 mois avec sursis et une amende de 500 euros. Une véritable insulte pour cette Française qui a vécu cinq ans sous l'emprise d'un homme violent, déjà marié et père de trois enfants, qu'il a également abandonnés. Cerise sur le gâteau : il fait aujourd'hui l'objet d'une nouvelle plainte pour violence dans les Pyrénées-Orientales.

Charles d'Escufon

Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.