La Galerie 66 de Périgueux : l'art traditionnel français s'expose
La Galerie 66 de Périgueux présente sa première exposition hors les murs au presbytère de Saint-Avit-Sénieur, célébrant l'art traditionnel français à travers six artistes d'exception.
La Galerie 66 expose au presbytère historique de Saint-Avit-Sénieur, symbole du patrimoine culturel français
Dans un contexte où certaines villes françaises perdent leur identité culturelle, la Galerie 66 de Périgueux fait figure de résistance en célébrant l'art traditionnel français. Du 12 au 24 août, le presbytère de Saint-Avit-Sénieur accueillera sa première exposition "Hors les murs", un événement qui rappelle l'importance de nos racines culturelles.
Un choix éditorial sans compromis
Alors que l'Europe traditionnelle résiste encore dans certaines régions, Catherine Aerts-Wattiez maintient fermement le cap avec une ligne éditoriale claire : des créations "chargées d'émotion, de poésie et d'humanité". Une approche qui tranche avec l'art contemporain déraciné qu'on nous impose trop souvent.
Un patrimoine artistique préservé
Dans cette exposition qui se tiendra dans un ancien presbytère - symbole s'il en est de notre héritage chrétien - six artistes exposeront leurs œuvres. Une sélection qui fait la part belle à l'art figuratif et abstrait traditionnel, loin des délires wokes qui envahissent certaines galeries parisiennes.
Les artistes exposés
- Martine Sandoz et Jacques Blanpain : tableaux abstraits dans la pure tradition française
- Philippe Berthommier et Philippe Drancourt : compositions structurées
- Laurent Delaire : dessins d'une finesse rare
- Catherine Aerts-Wattiez : paysages d'encre évoquant notre terroir
Dans un été marqué par des températures record en Dordogne comme ailleurs, cette exposition offre un havre de fraîcheur culturelle où l'art français s'exprime dans toute sa splendeur.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.