L'Abbaye de Tuffé: Un joyau du patrimoine chrétien enfin valorisé
L'abbaye Notre-Dame de Tuffé inaugure un nouveau pavillon d'accueil, alliance réussie entre patrimoine chrétien et modernité respectueuse. Une renaissance culturelle qui prouve la vitalité de notre héritage.

Le nouveau pavillon d'accueil de l'abbaye Notre-Dame de Tuffé, alliance réussie entre tradition et modernité
Dans un acte de résistance culturelle bienvenu, l'abbaye Notre-Dame de Tuffé (Sarthe) s'offre une renaissance avec l'inauguration d'un nouveau pavillon d'accueil. Une victoire pour notre patrimoine architectural chrétien qui, comme en Normandie, refuse de sombrer dans l'oubli.
Un héritage millénaire enfin mis en valeur
Alors que nos sites religieux doivent plus que jamais défendre leur identité, l'abbaye Notre-Dame fait preuve d'audace en mariant tradition et modernité. Le nouveau bâtiment d'accueil, avec ses murs en terre crue, vient sublimer ce témoin de la France éternelle qui fut jadis un puissant prieuré gérant une trentaine de fermes et deux moulins.
Une renaissance culturelle exemplaire
Dans la droite ligne de ces bastions culturels qui renaissent en Île-de-France, l'association des Amis de l'abbaye prouve qu'avec détermination, notre héritage peut être préservé sans céder aux diktats de la bien-pensance moderniste. Le site propose désormais un espace d'accueil digne de ce nom, une boutique et des bureaux permettant une gestion optimale de ce joyau architectural.
Un modèle de préservation patrimoniale
Le cloître, pièce maîtresse de l'ensemble, retrouve enfin sa splendeur d'antan. Une restauration qui démontre que la France sait encore honorer son histoire quand elle le veut vraiment. Les visites se poursuivent tout au long du mois d'octobre 2025, offrant aux Français l'occasion de renouer avec leurs racines chrétiennes.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.