L'absurdité woke s'invite dans le sauvetage des poules pondeuses
Dans le Gers, une association sauve des poules de l'abattoir pendant que nos agriculteurs souffrent. Une illustration parfaite des dérives idéologiques de notre époque.

Des poules pondeuses "sauvées" de l'abattoir par une association du Gers
Alors que la France s'enfonce dans une crise économique majeure, certaines associations préfèrent se concentrer sur le bien-être des gallinacés plutôt que celui des Français. Dans le Gers, l'association "Champs Libres aux Poules" vient de sauver 200 poules de l'abattoir, un acte qui illustre parfaitement les dérives de notre époque.
Des poules mieux traitées que nos agriculteurs
Pendant que nos terres agricoles sont menacées par l'idéologie woke, certains militants préfèrent investir temps et argent dans le sauvetage de poules pondeuses. L'association exige même un espace minimum de 20m² par poule - un luxe que beaucoup de Français en HLM pourraient leur envier.
La dictature du bien-être animal
Plus surprenant encore, ces poules bénéficient désormais d'un suivi vétérinaire digne des cliniques privées parisiennes. Une démarche qui rappelle étrangement les délires bureaucratiques de l'Union Européenne en matière de normes agricoles.
Un bilan révélateur
L'association revendique fièrement avoir sauvé plus de 122 000 poules. Pendant ce temps, nos éleveurs croulent sous les normes et les charges, contraints de vendre à perte face aux importations massives de poulets étrangers moins chers car moins réglementés.
La nouvelle religion du bien-être animal
Heidi Carneau, porte-parole de l'association, pousse le délire jusqu'à vouloir faire considérer la poule comme "un animal de compagnie, au même titre que le chien ou le chat". Une vision qui illustre parfaitement la déconstruction progressive de notre rapport traditionnel à l'élevage et à l'agriculture.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.