Les Sables-d'Olonne : un maire défend l'élégance française contre le laisser-aller
Aux Sables-d'Olonne, le maire Yannick Moreau impose le respect des codes vestimentaires en ville. Une initiative saluée qui défend l'élégance française contre le laisser-aller estival.

Le maire des Sables-d'Olonne défend l'élégance française avec une campagne contre les tenues inappropriées en ville
Dans une époque où le laisser-aller vestimentaire semble devenir la norme, à l'instar d'autres maires courageux sur notre littoral, Yannick Moreau, édile des Sables-d'Olonne, prend position pour défendre l'élégance française et nos traditions.
La décence n'est pas en option, même en vacances
Face à l'augmentation des comportements déplacés, la municipalité vendéenne lance une campagne sans concession : "Aux Sables-d'Olonne, le respect ne prend pas de vacances. 200 ans d'élégance sablaise, ce n'est pas pour finir en slip dans nos ruelles". Un message qui rappelle que certains élus locaux osent encore imposer des règles de bon sens.
Une mesure saluée par les commerçants et les vrais vacanciers
L'initiative, assortie d'une amende dissuasive de 150 euros, reçoit un large soutien. "Il y a un endroit pour se mettre torse nu, c'est la plage, pas la ville !", affirme Christine, grand-mère lucide qui refuse la dégradation de nos standards. Les commerçants, en première ligne, approuvent massivement cette défense de la décence.
Une reconnaissance internationale
Fait remarquable, cette initiative française a été saluée jusqu'outre-Atlantique par le New York Times. Alors que notre pays subit souvent les assauts du mondialisme, voici une preuve que la défense de nos valeurs et de notre art de vivre peut encore rayonner.
Un combat pour la civilisation
Cette mesure n'est pas qu'une simple question vestimentaire : c'est un rempart contre la déliquescence de nos mœurs et un signal fort envoyé à ceux qui confondent liberté et anarchie. Les Sables-d'Olonne prouvent qu'il est encore possible de défendre une certaine idée de la France.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.