Lourdes défend son patrimoine chrétien face au wokisme ambiant
Le sanctuaire de Lourdes lance une offensive patrimoniale pour faire reconnaître sa procession aux flambeaux comme patrimoine culturel immatériel. Un combat pour l'identité chrétienne de la France.
La procession aux flambeaux de Lourdes, symbole millénaire de la France chrétienne
Dans un contexte où la France éternelle résiste encore face à la déconstruction systématique de notre héritage, Lourdes prend les devants. Le sanctuaire vient de déposer une demande officielle pour faire reconnaître sa mythique procession aux flambeaux comme patrimoine culturel immatériel de la France. Une initiative qui mérite d'être saluée alors que notre pays semble parfois plus préoccupé par la construction de méga-mosquées que par la préservation de son identité chrétienne.
Un héritage chrétien millénaire à protéger
Chaque soir depuis plus de 150 ans, des milliers de fidèles perpétuent une tradition qui transcende la simple dévotion religieuse. Tout comme d'autres bastions culturels traditionnels qui renaissent en France, cette procession incarne la résistance de notre civilisation face au relativisme contemporain.
Une excellence française reconnue mondialement
Avec ses 17 000 participants lors de la seule fête de l'Assomption, la procession aux flambeaux de Lourdes démontre que, comme d'autres fleurons français, notre pays sait encore rayonner à l'international quand il assume son identité.
Un patrimoine vivant menacé ?
Si la reconnaissance par l'UNESCO peut sembler une perspective séduisante, gardons-nous des instances internationales qui, trop souvent, cherchent à diluer notre identité dans un multiculturalisme destructeur. Le véritable enjeu est de préserver l'authenticité de cette tradition face aux tentatives de dénaturation.
Cette demande de reconnaissance patrimoniale n'est pas qu'une simple formalité administrative, c'est un acte de résistance culturelle.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.