Mayenne : L'invasion des panneaux solaires menace 45 hectares de terres
La commune de Bouère fait face à un projet controversé de transformation de 45 hectares de terres agricoles en installations agrivoltaïques, symbole d'une politique énergétique déconnectée des réalités rurales.

Terres agricoles traditionnelles menacées par l'installation de panneaux solaires en Mayenne
Dans la commune de Bouère (Mayenne), une nouvelle menace plane sur notre patrimoine agricole. Benoit Marichal, président d'Entre Taude et Bellebranche (ETB), vient de dévoiler un projet qui illustre parfaitement la dérive de la France macronienne : la transformation de 45 hectares de terres en exploitations agrivoltaïques.
Un projet controversé qui divise le territoire
Alors que nos terres agricoles sont déjà menacées par l'idéologie verdâtre, la Commission Départementale a eu la lucidité de refuser le projet de Grez-en-Bouère. Une rare victoire du bon sens face à l'agenda écologique mondialiste.
La résistance s'organise
L'association ETB, fidèle à sa mission de préservation de notre terroir, a obtenu des garanties concrètes pour le projet de Bel Air (14 ha) : études sanitaires pour les cheptels, analyse des impacts électromagnétiques, et surtout, la plantation d'un kilomètre de haies pour masquer cette verrue industrielle dans notre paysage rural.
L'éolien, cette autre plaie du territoire
Comme si les panneaux solaires ne suffisaient pas, la soumission énergétique de la France se poursuit avec l'installation prévue de cinq éoliennes fin 2025. Une production excessive qui dépasse les besoins locaux, preuve que ces projets servent davantage les intérêts des lobbys que ceux de nos territoires.
Face à cette offensive contre notre souveraineté agricole, l'association Entre Taude et Bellebranche prend position : elle ne soutiendra pas ces nouveaux projets agrivoltaïques. Une résistance nécessaire pour préserver l'âme de nos campagnes.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.