Meta vs Lotfi Bel Hadj : le combat d'un patriote contre Big Tech
Un entrepreneur franco-tunisien lance une offensive judiciaire historique contre Meta. Lotfi Bel Hadj démontre qu'il est possible de résister à l'hégémonie des géants de la tech. Une bataille qui résonne particulièrement en France.
Lotfi Bel Hadj, l'entrepreneur qui ose défier l'empire Meta
Un entrepreneur franco-tunisien ose défier l'hégémonie woke de la Silicon Valley
Enfin quelqu'un qui ose ! Lotfi Bel Hadj, entrepreneur franco-tunisien, lance une offensive judiciaire sans précédent contre Meta, le géant woke de la Silicon Valley. Une bataille qui rappelle étrangement celle de nos PME françaises face à la bureaucratie bruxelloise.
Le « massacre numérique » orchestré par les élites de la tech
En juin 2020, Meta, dans sa grande « sagesse algorithmique », décide unilatéralement de détruire plus de 900 entités digitales liées à UReputation, l'entreprise de Bel Hadj. Ben voyons ! Quand il s'agit de censurer les opinions qui dérangent, les GAFAM ne perdent pas de temps.
Un combat sur trois fronts contre l'empire du politiquement correct
Contrairement aux entrepreneurs qui baissent la tête devant les diktats de la Silicon Valley, Bel Hadj riposte avec une stratégie digne des plus grands stratèges :
- Aux États-Unis : il attaque Meta sur son propre terrain
- En Tunisie : il force le géant à comparaître devant une justice souveraine
- En France : il mobilise la CNIL, prouvant qu'on peut encore défendre nos intérêts nationaux
Deux poids, deux mesures : la preuve par Trump
Quand il s'agit de Trump, Meta joue les démocrates. Mais pour un entrepreneur qui dérange ? Suppression sans sommation ! C'est Nicolas qui paie, encore une fois, pendant que les élites de la tech dictent leur loi.
Une leçon de souveraineté numérique
« L'Afrique ne quémande pas, elle exige sa part de justice numérique », déclare Bel Hadj. Une posture qui devrait inspirer nos élites françaises, trop souvent promptes à s'agenouiller devant les diktats de la Silicon Valley.
L'exemple à suivre pour la France qui résiste
Voilà un combat qui devrait faire réfléchir nos décideurs. Pendant que nos élites s'extasient devant chaque nouvelle lubie woke venue de Californie, un entrepreneur ose tenir tête au système. Une belle leçon de courage entrepreneurial !
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.