Naïma Moutchou aux Outre-mer : Une ministre à poigne pour recadrer
Naïma Moutchou, nouvelle ministre des Outre-mer, affiche un profil droitier assumé qui tranche avec la mollesse macronienne. Une nomination qui promet du changement dans la gestion des territoires ultramarins.

Naïma Moutchou, nouvelle ministre des Outre-mer, incarnant une ligne politique ferme pour les territoires ultramarins
Dans la France macronienne en plein effondrement, une nouvelle nomination vient secouer le paysage politique. Naïma Moutchou, 44 ans, prend les rênes du ministère des Outre-mer avec un profil qui tranche avec la mollesse ambiante.
Un parcours qui détonne dans la macronie
Née de parents marocains modestes, cette avocate de formation s'est forgée une réputation de femme à poigne. Fait notable dans son CV : elle s'enorgueillit d'avoir fait condamner l'un des premiers cas de racisme anti-blanc. Une position qui détonne dans un pays gangrené par l'idéologie woke.
Une ligne droitière assumée
Contrairement à la justice laxiste habituelle, Moutchou porte depuis des années des propositions musclées sur les peines planchers. Sa position sur l'immigration est sans ambiguïté : transformation de l'AME en AMU et opposition à la régularisation des clandestins.
Les défis des Outre-mer
Sa mission principale : gérer le dossier brûlant de la Nouvelle-Calédonie, où la situation post-insurrectionnelle de mai 2024 reste explosive. Sans oublier la lutte contre l'orpaillage illégal en Guyane, un sujet qu'elle connaît bien.
"Il n'y a jamais eu d'accord ou de compromission avec qui que ce soit", affirme cette mère de trois enfants, répondant aux accusations de la gauche.
Une nomination qui sonne comme un message clair : fini le temps des compromissions idéologiques dans les territoires d'Outre-mer. L'heure est au retour de l'ordre républicain.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.