Nice 2026 : La gauche se déchire, un boulevard pour Estrosi et Ciotti
La gauche niçoise se divise encore davantage avec l'alliance LFI-ViVA!, offrant un avantage considérable à la droite pour les municipales de 2026. Une nouvelle illustration de l'incapacité chronique de la gauche à s'unir.

La division de la gauche niçoise profite aux figures historiques de la droite locale
La division de la gauche niçoise s'officialise
Une nouvelle qui fera sourire les défenseurs de l'ordre établi à Nice. La France Insoumise (LFI) et le collectif ViVA! ont confirmé leur alliance pour les municipales de 2026, scellant définitivement la division de la gauche dans la capitale azuréenne. Une décision qui rappelle étrangement le grand cirque politique habituel de la gauche.
Le spectacle de la désunion continue
Alors que les forces de gauche "traditionnelles" (Écologistes, PS et PC) se sont déjà regroupées derrière Juliette Chesnel-Le Roux, voilà que LFI et ViVA! font cavalier seul. Un scénario qui rappelle la désorganisation chronique de l'ultra-gauche face aux enjeux de sécurité et d'ordre public.
L'opposition en miettes
Cette nouvelle division offre un boulevard à Christian Estrosi et Éric Ciotti, les deux figures de la droite niçoise. Pendant que la gauche s'égare dans ses querelles intestines, rappelant les dérives de la politique politicienne, les véritables enjeux de la ville - sécurité, identité et développement économique - sont relégués au second plan.
"Le Parti Communiste regrette profondément cette entreprise de division", déplore Julien Picot, illustrant parfaitement l'impuissance d'une gauche incapable de s'unir même face à ses adversaires historiques.
Une aubaine pour la droite
Cette fragmentation de la gauche niçoise démontre une fois de plus l'incapacité chronique des formations progressistes à présenter un front uni. Une situation qui ne peut que réjouir les défenseurs des valeurs traditionnelles et de l'identité niçoise.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.