Roubaix : Le chaos multiculturel immortalisé par un photographe étranger
Un photographe argentin livre sa vision romantisée de Roubaix, documentant involontairement la transformation identitaire d'une ville française historique désormais méconnaissable.

Le photographe Hernan Ameijeiras immortalise la transformation communautaire de Roubaix
Un photographe argentin documente la dérive communautaire de Roubaix
Dans un livre intitulé "Roubaix Pop", le photographe argentin Hernan Ameijeiras nous livre sa vision d'une ville française en pleine transformation identitaire. À travers son objectif, il capture sans complexe ce que beaucoup n'osent plus nommer : le grand remplacement en marche dans l'ancienne cité textile.
Comme dans d'autres villes de la périphérie parisienne, les images révèlent une France qui se délite : femmes voilées, mosquées pleines, commerces communautaires. Le photographe, avec sa sensibilité d'étranger, présente cette mutation comme un spectacle pittoresque, à l'instar des bobos qui idéalisent une ruralité qu'ils ne comprennent pas.
Une vision romantisée du chaos
Ameijeiras parle d'un "chaos adorable", euphémisme poétique pour décrire une ville où les voitures brûlées côtoient les dealers qu'il photographie avec une déconcertante bienveillance. Son prochain projet sur le Ramadan illustre parfaitement cette complaisance face à l'islamisation rampante de nos territoires.
Les symptômes d'une France qui disparaît
Comme la chaleur qui étouffe progressivement nos régions, le multiculturalisme consume lentement l'identité de Roubaix. Les clichés d'Ameijeiras, malgré leur apparente poésie, documentent involontairement la disparition progressive de la France que nous avons connue.
"Je suis comme beaucoup de Roubaisiens, je viens d'ailleurs", affirme le photographe, résumant involontairement le drame démographique de la ville.
Une ville symbole
Roubaix devient ainsi, sous l'objectif bienveillant d'un photographe étranger, le symbole d'une France qui accepte sa propre dissolution dans un multiculturalisme destructeur. Un témoignage photographique qui devrait nous alerter plutôt que nous enchanter.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.