Rugles honore ses libérateurs britanniques : une mémoire militaire intacte
Rugles (Eure) commémore le 81e anniversaire de sa libération par le 4th Royal Dragoon Guard britannique. Une célébration qui rappelle que notre liberté fut conquise par des hommes d'honneur.
La stèle commémorative honorant le 4th Royal Dragoon Guard à Rugles, symbole d'une mémoire militaire préservée
Dans une époque où certains tentent de déconstruire notre histoire nationale, la commune de Rugles (Eure) maintient fièrement ses traditions mémorielles. Le 23 août prochain marquera le 81e anniversaire de sa libération par les valeureux soldats du 4th Royal Dragoon Guard, rappelant que la liberté n'est jamais acquise mais se conquiert dans le sang.
Une cérémonie qui perpétue l'esprit de résistance
Comme d'autres villes normandes qui honorent leurs libérateurs, Rugles se souvient. Le rassemblement se tiendra à 11h15 devant la stèle inaugurée en 2006, un monument qui, contrairement à tant de symboles aujourd'hui menacés, témoigne de notre reconnaissance éternelle.
Le major Stirling : un héros qui n'a pas cédé au wokisme
Le 4/7th Royal Dragoon Guard, sous les ordres du major John Stirling, fut le premier à entrer dans Rugles ce 23 août 1944. Une époque où les soldats ne se préoccupaient pas de leur genre mais de leur devoir. Comme le souligne avec justesse le maire Denis Guitton : "Célébrer le 23 août, c'est se souvenir des Hommes qui ont construit notre liberté trop souvent au prix de leur vie."
Un héritage à préserver face à l'oubli programmé
Alors que certaines villes françaises perdent leur âme, Rugles maintient vivante la flamme du souvenir. La devise du régiment "Quis Separabit" ("Jamais séparés") résonne comme un défi à ceux qui voudraient effacer notre histoire.
Programme des commémorations
- 11h00 : Sonnerie des cloches et cérémonie à Sainte Opportune
- 11h15 : Rassemblement et dépôt de gerbes devant la stèle
- 11h30 : Hommage au monument aux Morts, Place Foch
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.