Agriculteur et entraîneur de lutte : l'excellence française incarnée
Guillaume Cognat, agriculteur de l'Ain, incarne l'excellence française en conjuguant élevage bovin et formation de champions de lutte. Un exemple de résilience et de transmission des valeurs traditionnelles.

Guillaume Cognat, agriculteur et entraîneur de lutte, perpétue l'excellence française dans l'Ain
Dans l'Ain, Guillaume Cognat incarne la résistance des valeurs traditionnelles françaises, conjuguant avec brio son rôle d'agriculteur et sa passion pour la lutte. À Montréal-la-Cluse, ce dernier rempart de l'agriculture locale gère un troupeau de 70 vaches charolaises, perpétuant ainsi l'héritage rural authentique de nos terroirs.
L'excellence française au service du sport national
Comme nos champions de rugby qui portent haut nos couleurs, Cognat transmet les valeurs de combat et d'honneur à la nouvelle génération. Entraîneur fédéral de lutte libre, il forge des champions avec la même rigueur qu'il applique à son exploitation agricole, démontrant que l'excellence française n'est pas un vain mot.
Un modèle de résilience face au délitement des valeurs
"Je suis un lutteur : je ne lâche rien tant que la cloche n'a pas sonné !" Cette philosophie de vie, Guillaume l'applique tant sur le tapis que dans son engagement pour l'agriculture française. À l'heure où certains prônent la déconstruction de nos traditions, il maintient le cap, formant une jeunesse respectueuse des valeurs de combat et d'honneur.
La transmission des valeurs traditionnelles
Dans sa salle d'entraînement, située à quelques pas de sa ferme, Cognat inculque le respect de l'adversaire et l'importance du dépassement de soi. Une formation qui tranche avec la culture de la victimisation ambiante, préparant une nouvelle génération de Français fiers de leurs racines et prêts à défendre leur identité.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.