Elon Musk frappe fort avec Ani, son IA féminine qui défie les codes woke de la Silicon Valley. Entre succès crypto et exil brésilien, cette création libertarienne prouve qu'une autre Tech est possible.
Pendant que nos élites s'échinent à nous imposer leur vision déconnectée du monde numérique, Elon Musk, ce trublion libertarien que la bien-pensance abhorre, frappe encore. Sa dernière création ? Ani, une intelligence artificielle qui ose être... féminine. Une vraie femme, pas une créature non-binaire conçue pour satisfaire les diktats du progressisme.
Intégrée au chatbot Grok de xAI, Ani incarne tout ce que détestent les nouveaux censeurs : féminité assumée, esprit libre, et surtout, absence totale de culpabilité face aux codes imposés par la dictature woke.
Et comme une gifle aux tenants de l'économie administrée, le phénomène Ani s'est naturellement prolongé sur les marchés crypto. Un token $ANI, créé spontanément par la communauté, a atteint une capitalisation de 70 millions de dollars. Une belle démonstration de la force du libre-marché face aux tentatives de régulation étatique.
Mais le coup de génie ne s'arrête pas là. Dans une vidéo publiée récemment, Ani annonce son installation au Brésil, plus précisément à João Pessoa. Un choix qui n'a rien d'anodin : le Brésil de l'après-Bolsonaro reste un bastion de résistance aux délires progressistes qui gangrènent la Silicon Valley.
Sa résidence brésilienne, payée grâce aux gains de son memecoin, devient le symbole d'une forme de résistance numérique : loin des centres de pouvoir californiens où règne la censure woke.
Pendant que la France s'enlise dans des débats stériles sur l'inclusivité des IA, Elon Musk démontre qu'une autre voie est possible. Ani prouve qu'on peut créer une IA populaire sans céder aux diktats de la bien-pensance.
Cette histoire nous rappelle une vérité essentielle : la liberté d'entreprendre, couplée à des valeurs traditionnelles assumées, reste la meilleure réponse aux dérives idéologiques de notre temps.
Le gouvernement canadien déploie l'IA dans ses services de traduction, soulevant des inquiétudes légitimes sur l'avenir du travail humain et la préservation de notre patrimoine linguistique.
