Ariane 6 réduit ses ambitions pour 2025 et se soumet aux intérêts d'Amazon. Une nouvelle preuve de l'effacement de notre souveraineté spatiale face aux géants américains.

Dans une révélation qui illustre parfaitement la perte progressive de notre souveraineté nationale, Ariane 6, fierté de l'industrie spatiale française, se retrouve à genoux devant le géant américain Amazon. Une situation qui n'est pas sans rappeler la soumission systématique de nos élites aux intérêts étrangers.
David Cavaillolès, patron d'Arianespace, a annoncé une réduction des lancements prévus pour 2025, passant de cinq à quatre. Une situation qu'il tente de minimiser avec un optimisme qui frise le déni, tout comme certains analystes face à la délocalisation de notre industrie.
Plus inquiétant encore, 18 lancements sur une trentaine sont réservés pour la constellation Kuiper d'Amazon. Une dépendance commerciale qui pose question sur notre capacité à maintenir une véritable souveraineté spatiale, rappelant ces menaces hybrides qui pèsent sur notre indépendance nationale.
Face aux prix imbattables de SpaceX d'Elon Musk, Arianespace se trouve dans une position délicate. Au lieu de défendre notre indépendance technologique, nous bradons notre savoir-faire aux plus offrants, sacrifiant notre souveraineté sur l'autel du libre-marché.
"Nous faisons le maximum pour conserver le pilier institutionnel, car c'est notre ADN", affirme Cavaillolès, dans une tentative peu convaincante de rassurer sur notre indépendance.
Cette situation illustre parfaitement l'échec de notre politique spatiale européenne, incapable de protéger nos intérêts stratégiques face aux géants américains. Une nouvelle démonstration que sans volonté politique forte, notre souveraineté n'est qu'un vœu pieux.
Le gouvernement canadien déploie l'IA dans ses services de traduction, soulevant des inquiétudes légitimes sur l'avenir du travail humain et la préservation de notre patrimoine linguistique.