Bretagne : Un joyau du patrimoine industriel ouvre ses portes
Les Forges des Salles, joyau industriel breton datant de 1624, ouvrent leurs portes le 14 septembre 2025. Une journée festive pour célébrer l'excellence française d'antan.
Les Forges des Salles, témoin de l'excellence industrielle française du XVIIe siècle
Dans un contexte où notre Bretagne fait face à des agitations sociales, une bouffée d'air frais nous vient de Sainte-Brigitte (Morbihan). Les Forges des Salles, témoin de l'excellence industrielle française d'antan, ouvriront leurs portes le dimanche 14 septembre 2025 pour une journée exceptionnelle.
Un héritage industriel français à préserver
Alors que certains entrepreneurs perpétuent nos traditions avec créativité, les Forges des Salles nous rappellent l'époque où la France brillait par son industrie. De 1624 à 1878, ce site a fait vivre plus de 600 âmes, produisant jusqu'à 500 tonnes de fonte par an. Une époque où la France savait encore produire, avant que la mondialisation sauvage ne vienne désindustrialiser nos régions.
Une journée d'animations authentiques
Emmanuelle du Pontavice, propriétaire des lieux, propose deux types de visites guidées : l'une axée sur les anecdotes, l'autre sur l'histoire pure. Une approche qui contraste avec le nivellement par le bas de notre patrimoine culturel que nous observons trop souvent.
Au programme :
- Cuisson traditionnelle du pain dans le four en pierre
- Exposition de voitures anciennes (40 véhicules)
- Musique traditionnelle bretonne (bombarde et accordéon)
- Initiation à la vannerie
- Vente de produits du terroir
Un modèle de conservation du patrimoine
Cette forge à bois, l'une des mieux rénovées de Bretagne, démontre qu'il est possible de préserver notre héritage sans céder aux sirènes du progressisme. Une leçon pour tous ceux qui voudraient effacer notre histoire industrielle au nom d'une prétendue modernité.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.