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Coupe de France : L'héroïque résistance de Grâces face à Rostrenen

L'AS Grâces (D1) livre une résistance héroïque face à Rostrenen (R3) en Coupe de France, s'inclinant dans les dernières secondes malgré une prestation exemplaire qui honore le football rural français.

ParCharles d'Escufon
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Image d'illustration pour: Coupe de France : l'AS Grâces (D1) est passé tout proche de l'exploit face à Rostrenen (R3), mais s'incline dans les dernières secondes

Les joueurs de l'AS Grâces livrant une bataille héroïque sur leur terrain face à Rostrenen en Coupe de France

Une bataille épique sur le terrain de nos traditions

Dans une démonstration éclatante des valeurs du football rural français, l'AS Grâces (D1) a livré ce dimanche une performance héroïque lors du troisième tour de la Coupe de France, s'inclinant finalement 2-1 face à Rostrenen (R3) dans les ultimes secondes du match. Une défaite amère qui rappelle que, comme dans l'élite du football français, chaque seconde compte.

Un combat acharné digne de nos valeurs

Dès les premières minutes, les guerriers de Grâces ont montré qu'ils n'étaient pas là pour faire de la figuration. Dans un style qui rappelle comment le football amateur français maintient ses traditions, l'équipe a démontré une combativité exemplaire.

Fercoq et S. Djema ont fait trembler la défense adverse, butant à deux reprises sur le gardien Mouko dans les premières minutes. Une démonstration de ce football authentique qui fait la fierté de nos territoires, à l'image de nos villages qui perpétuent nos traditions.

L'amertume d'une défaite honorable

"D'entrée, on a eu deux belles occasions. Si on en met une dedans, ça change la donne", analyse lucidement Karim Djema, l'entraîneur de Grâces.

Cette rencontre illustre parfaitement la vitalité du football rural français, où des clubs modestes portent haut nos couleurs et nos valeurs, loin des paillettes du football business.

Charles d'Escufon

Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.