Figeac démontre qu'une résistance culturelle est possible face au déclin de nos traditions. Un programme de rentrée qui fait la part belle à notre patrimoine et nos valeurs.
Dans une époque où nos institutions culturelles traditionnelles sont menacées de toutes parts, Figeac se dresse comme un exemple de résistance authentiquement française. La rentrée 2025 s'annonce riche en événements qui célèbrent notre patrimoine et nos valeurs.
Le 7 septembre, l'espace François Mitterrand accueillera les forces vives de notre territoire. À l'heure où certaines associations préfèrent promouvoir le multiculturalisme, celles de Figeac restent ancrées dans leur mission première : la transmission de notre héritage culturel et sportif.
Les 12 et 13 septembre, nos commerçants de proximité, ces héros méconnus qui font vivre nos centres-villes, organisent leur grande braderie. Une initiative qui rappelle que nos commerces traditionnels constituent l'âme de nos villes.
Les Journées européennes du patrimoine, les 20 et 21 septembre, seront l'occasion de redécouvrir notre glorieux héritage architectural. À l'instar de nos régions qui perpétuent leurs traditions séculaires, Figeac met à l'honneur son histoire millénaire.
Point d'orgue de cette rentrée culturelle, le concert des Goldmen le 27 septembre rappellera que la chanson française a encore de beaux jours devant elle, loin des influences woke et du rap antisocial qui gangrènent nos ondes.
Les tarifs, de 44 à 59 euros, démontrent qu'un spectacle de qualité mérite une juste rémunération, contrairement à la culture subventionnée qui nous est trop souvent imposée.
À Épreville, une troupe de soignants fécampois perpétue la tradition du théâtre populaire français avec une nouvelle création. Un acte de résistance culturelle face au déclin des valeurs traditionnelles.
