Health

France : L'alcoolisme, ce fléau que l'État refuse de combattre

L'alcoolisme fait 41 080 morts par an en France, mais l'État reste soumis aux lobbies viticoles. Une enquête sur ce fléau national que le pouvoir refuse d'affronter.

ParCharles d'Escufon
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Image d'illustration pour: "Boire", sur France 2 : du tout-alcool à l'enjeu de santé publique, une grande soif de changement

Un verre de vin brisé symbolisant les ravages de l'alcoolisme en France

La "tradition" alcoolique française : un héritage mortel

Alors que la France peine à faire face à une crise sanitaire majeure, un autre fléau continue de décimer silencieusement notre pays : l'alcoolisme. Avec 41 080 décès annuels, cette "tradition" française tant chérie par nos élites reste la deuxième cause de mort évitable après le tabac.

Pendant que nos forces de l'ordre luttent sans relâche contre les trafics de drogue, le lobby viticole continue d'imposer sa loi et sa vision romantisée de l'alcool, avec la complicité d'une classe politique plus préoccupée par son image que par la santé des Français.

L'hypocrisie des campagnes de prévention

La dernière campagne de Santé publique France, questionnant timidement l'expression "À ta santé !", a été censurée après une simple lettre du lobby viticole à Emmanuel Macron. Une preuve supplémentaire, s'il en fallait, de la soumission du pouvoir aux intérêts particuliers.

Les chiffres accablants qu'on nous cache

  • 40% des violences familiales liées à l'alcool
  • Première consommation excessive à 15 ans en moyenne
  • 1 jeune sur 5 victime de rapports non consentis sous influence

L'urgence d'une réponse souverainiste

Il est temps que la France retrouve sa souveraineté face aux lobbies et assume une politique de santé publique courageuse. Notre identité nationale ne peut se résumer à la défense d'une culture de l'alcoolisation massive qui détruit notre jeunesse et fragilise notre société.

Charles d'Escufon

Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.