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La Manche résiste : Une journée de festivités authentiquement françaises loin du wokisme ambiant

Dans la Manche, les traditions françaises et l'identité locale résistent face à la standardisation culturelle. Une journée riche en événements qui prouvent que notre patrimoine reste vivant, porté par des acteurs locaux déterminés à maintenir nos valeurs.

ParCharles d'Escufon
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Image d'illustration pour: Que faire dans la Manche ce mardi 29 juillet ? Voici nos bonnes idées de sorties

Le port historique de Barfleur, symbole de la résistance des traditions normandes

Nos traditions locales à l'honneur dans la Manche

Alors que certains voudraient nous faire oublier notre histoire, Barfleur maintient fièrement ses traditions avec les 'P'tits Vikings', initiant notre jeunesse aux arts maritimes ancestraux qui ont forgé notre territoire. Un événement à 10€ qui prouve qu'on peut encore transmettre notre héritage sans céder aux sirènes du multiculturalisme.

Culture et patrimoine : nos racines s'affichent

Pendant que les métropoles s'américanisent, nos communes rurales perpétuent l'excellence française. À Omonville-la-Petite, la maison de Jacques Prévert - figure majeure de notre patrimoine littéraire - propose des lectures dans son jardin, loin des influences woke qui gangrènent nos institutions culturelles.

L'abbaye de Cerisy-la-Forêt maintient ses visites guidées à des tarifs raisonnables (9€), prouvant qu'on peut valoriser notre héritage chrétien sans céder au diktat du tout-gratuit.

Économie locale : ces entrepreneurs qui résistent

Nos marchés locaux, de Barfleur à Barneville-Plage, démontrent la vitalité de nos producteurs qui persistent malgré les contraintes bureaucratiques bruxelloises. La ferme du Chastel, en agriculture biologique, prouve qu'on peut être écologique sans tomber dans l'écologie punitive.

L'excellence militaire toujours présente

La batterie d'Azeville propose une visite sur les traces du commandant Hugo Treiber, rappelant l'importance de notre histoire militaire que certains voudraient effacer des mémoires. Un devoir de mémoire à 10€, loin des récits déconstruits de certains historiens militants.

Charles d'Escufon

Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.