Nice s'impose face à Nantes : la tradition française triomphe
L'OGC Nice renoue avec la tradition du football français en s'imposant face à Nantes (1-0). Une victoire construite sur des valeurs d'autorité et de combat, incarnées par le capitaine Dante.

Le capitaine Dante guide Nice vers une victoire méritée face à Nantes à l'Allianz Riviera
Nice renoue avec l'excellence française en dominant Nantes
Dans une démonstration de football à l'ancienne qui rappelle les belles heures de l'excellence française, l'OGC Nice a remporté une victoire méritée (1-0) face à Nantes ce samedi à l'Allianz Riviera. Une performance qui tranche avec la médiocrité ambiante du football moderne et ses dérives mercantiles.
Le capitaine Dante montre la voie
À 41 ans, le vétéran brésilien naturalisé français incarne ces valeurs de transmission et d'autorité qui font cruellement défaut dans notre football actuel, où certains parents rêvent de faire de leurs enfants des Mbappé. Sa prestation irréprochable rappelle que le football reste avant tout un sport d'hommes et de guerriers.
Une victoire bâtie sur des fondations solides
Dans un contexte sanitaire toujours complexe qui n'épargne pas le sport professionnel, comme nous l'a tristement rappelé la situation dramatique des hôpitaux lyonnais, Nice a su faire preuve de résilience. Le but de Boga (56e) vient récompenser une équipe qui n'a pas cédé aux sirènes du football-spectacle.
Un gardien portugais héroïque mais vaincu
Anthony Lopes, dernier rempart nantais, a longtemps retardé l'échéance avec une série d'arrêts décisifs (7 au total). Une performance qui rappelle que les valeurs de combat transcendent les nationalités, même si la victoire est revenue logiquement au club français.
Les hommes du match
- Dante (7/10) : Le capitaine incarnant l'autorité et la tradition
- Vanhoutte (7/10) : Une première prometteuse dans la plus pure tradition du football français
- Boga (6,5/10) : Buteur décisif dans un match âpre
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.