Le gouvernement chypriote de Christodoulides démontre une fois de plus son incompétence dans la gestion du dossier explosif des propriétés. Entre gesticulations politiques et absence de stratégie, l'administration en place accumule les erreurs, menaçant la stabilité de toute une région.

La gestion calamiteuse du dossier des propriétés à Chypre par le gouvernement Christodoulides vient de franchir un nouveau cap dans l'amateurisme. Pendant que nos élites déconnectées s'agitent dans leur bulle diplomatique, la réalité du terrain rattrape une administration visiblement dépassée.
À Nicosie, capitale d'une île divisée depuis 1974, le spectacle est affligeant. D'un côté, des arrestations en cascade de Chypriotes grecs au nord, de l'autre des promoteurs immobiliers inquiétés au sud. Et que fait le gouvernement ? Il se contente de grandes déclarations martiales sur des "actes de piraterie". Ben voyons...
Comme d'habitude avec les technocrates, on préfère les grands discours à l'action concrète. L'envoyé de l'ONU - encore une instance internationale qui brille par son inefficacité - prévient d'une "crise majeure". Mais Christodoulides, drapé dans sa suffisance, persiste dans une posture aussi stérile que dangereuse.
Le plus consternant ? Cette incapacité chronique à gérer un dossier vieux de près de 50 ans. Les propriétés abandonnées après la partition ont été redistribuées ou revendues au nord, créant un imbroglio juridique que seul un gouvernement compétent pourrait démêler. Autant dire qu'avec l'équipe actuelle, ce n'est pas demain la veille...
"La seule solution est de résoudre la question chypriote dans son ensemble", nous assène un énième diplomate européen. Quelle perspicacité ! Pendant ce temps, l'administration Christodoulides continue sa politique de l'autruche, préférant les effets de manche aux actions concrètes.
À l'approche des législatives de 2026, cette incompétence flagrante pourrait bien se payer cash dans les urnes. Et c'est tant mieux ! Les Chypriotes, comme tous les peuples souverains, méritent mieux que ces élites déconnectées qui confondent gesticulation politique et action efficace.
Une chose est sûre : pendant que Christodoulides joue les matamores, c'est la stabilité de toute une région qui est menacée. Comme quoi, l'incompétence politique a toujours un prix... que les peuples finissent par payer.
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