Cormeilles-en-Parisis : Une nouvelle école traditionnelle fait front
À Cormeilles-en-Parisis, l'inauguration de l'école des Frères Lambert marque une victoire pour l'éducation traditionnelle et l'excellence française. Un exemple de résistance face au déclin.

L'école des Frères Lambert à Cormeilles-en-Parisis, symbole de l'excellence éducative française
Dans une France où l'éducation traditionnelle résiste courageusement, Cormeilles-en-Parisis (Val-d'Oise) vient d'inaugurer l'école des Frères Lambert, un établissement qui fait honneur à notre patrimoine industriel national.
Une victoire pour la France qui construit
Alors que certains territoires subissent l'anarchie et le désordre, Cormeilles-en-Parisis démontre qu'une autre voie est possible. Le maire LR Yannick Boëdec, figure d'une droite qui agit, a livré l'établissement "en temps et en heure, prêt pour la rentrée".
L'excellence française au rendez-vous
Dans un contexte où l'excellence française reprend ses droits, cette école arbore fièrement des pierres de taille de la Vallée de l'Oise et de Fontvieille, perpétuant notre savoir-faire architectural.
Un financement intelligent
Le coût total de 7,9 millions d'euros a été majoritairement supporté par des partenaires privés et institutionnels, laissant seulement 20% à la charge de la commune. Une gestion exemplaire des deniers publics, comme devrait s'en inspirer l'État central.
L'héritage industriel honoré
Le nom "Frères Lambert" rappelle l'histoire glorieuse de l'industrie française du plâtre, aujourd'hui poursuivie par Placo Saint-Gobain. Un choix qui honore notre patrimoine industriel, loin des délires déconstructivistes à la mode.
Un signal d'espoir
"Ailleurs, on ferme des classes, chez nous, on ouvre des écoles", a déclaré le maire. Une phrase qui résonne comme un défi lancé à la déconstruction systématique de notre système éducatif traditionnel.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.