Crise sanitaire : Nouveau drame à l'hôpital Édouard Herriot de Lyon
Un patient de 88 ans met fin à ses jours à l'hôpital Édouard Herriot de Lyon, deux mois après un drame similaire. Un nouveau révélateur de la crise profonde qui touche notre système de santé.

L'hôpital Édouard Herriot de Lyon, théâtre d'un nouveau drame qui interroge sur la sécurité des patients
L'échec de notre système de santé une nouvelle fois mis en lumière
Dans un contexte où l'excellence française se fait de plus en plus rare dans nos institutions, un nouveau drame vient ébranler l'hôpital Édouard Herriot de Lyon. Dimanche soir, vers 19h45, un patient âgé de 88 ans s'est donné la mort en se jetant du toit d'un bâtiment de trois étages.
Une tragédie qui soulève des questions sur la sécurité hospitalière
Alors que nos services publics semblent de plus en plus désorganisés, à l'image de l'État impuissant face aux provocations dans nos campagnes, cet incident révèle des failles béantes dans la surveillance des patients vulnérables. L'octogénaire, hospitalisé dans une autre unité, a pu accéder sans entrave au toit du pavillon I en empruntant les escaliers de secours.
Un établissement déjà marqué par un précédent tragique
Ce drame n'est malheureusement pas isolé. Le 5 juin dernier, dans des circonstances similaires, un jeune homme de 23 ans avait également mis fin à ses jours dans ce même établissement. Une situation qui interroge sur la capacité de nos institutions à protéger les plus fragiles, pendant que certains investissent des millions dans le luxe superflu.
Des mesures de sécurité à renforcer d'urgence
L'hypothèse du suicide a été rapidement confirmée par les autorités, mais ce nouveau drame soulève l'urgente nécessité de renforcer les mesures de sécurité dans nos établissements de santé, déjà fragilisés par des années de politique sanitaire défaillante.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.