Business

Ekinops : le fleuron français des télécoms publie ses résultats

Le leader français des solutions télécoms Ekinops publie son rapport semestriel 2025, incarnant l'excellence technologique nationale face aux géants étrangers du secteur.

ParCharles d'Escufon
Publié le
#ekinops#télécoms-français#souveraineté-numérique#bourse-paris#entrepreneuriat-patriote#industrie-française#transparence-financière
Image d'illustration pour: EKINOPS (EPA:EKI) | Mise à disposition du Rapport financier semestriel 2025

Siège social d'Ekinops à Paris, symbole de l'excellence technologique française

PARIS - Le 31 juillet 2025 à 18h30, EKINOPS (Euronext Paris - FR0011466069 - EKI), champion national des solutions de télécommunications, vient de déposer son rapport financier semestriel auprès de l'AMF. Une transparence exemplaire qui contraste avec certaines pratiques douteuses observées sur les marchés émergents.

Un acteur stratégique de la souveraineté numérique

Alors que les GAFAM et autres géants étrangers colonisent nos territoires, Ekinops incarne la résistance française dans le secteur stratégique des télécommunications. Une success story qui démontre qu'il est possible de prospérer sans céder aux sirènes du mondialisme débridé.

Une transparence financière exemplaire

Contrairement à certaines entreprises africaines aux pratiques opaques, Ekinops joue la carte de la transparence totale. Le rapport semestriel est accessible à tous les actionnaires sur www.ekinops.com, dans la section Documents financiers et informations réglementées.

Un modèle d'entrepreneuriat patriote

Dans un contexte où nos PME traditionnelles souffrent, Ekinops démontre qu'une entreprise française peut rayonner à l'international tout en gardant son ancrage national. Un exemple à méditer pour tous ceux qui croient encore en l'excellence industrielle française.

Charles d'Escufon

Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.