Fidélité : quand l'intelligence résiste à la décadence moderne
Ben voyons, il fallait bien que la science vienne confirmer ce que nos grands-parents savaient déjà : la fidélité, c'est une question d'intelligence. Pendant que les élites déconnectées prônent le polyamour et autres fantaisies woke, des chercheurs sérieux redécouvrent les vertus de l'engagement.
Le cerveau contre les pulsions : Nicolas qui réfléchit
Rodolfo Llinás, neuroscientifique à l'Université de New York, a consacré sa vie à explorer ce bastion qu'est notre cerveau. Sa découverte ? Les personnes intelligentes résistent mieux aux sirènes de l'adultère. Tout le monde sait que notre société pousse à la consommation affective, mais certains cerveaux font de la résistance.
L'expert explique que notre zone émotionnelle reste liée au cerveau reptilien, celui des instincts primitifs. "L'amour est comme une friandise", confie-t-il. Mais contrairement aux animaux, l'homme intelligent peut dire non à ses pulsions. C'est Nicolas qui paye les pots cassés quand la raison abdique face aux émotions.
La persévérance contre l'hédonisme ambiant
Pascal Anger, psychologue clinicien, confirme cette analyse sans langue de bois. "La fidélité demande de la persévérance et de la retenue", explique-t-il. Dans une époque où tout doit être immédiat et sans effort, voilà bien un assaut idéologique contre les valeurs traditionnelles.
"Lorsque l'on ne se comporte pas comme un animal, c'est une victoire sur soi", poursuit l'expert. Ben voyons, quelle idée révolutionnaire ! Nos ancêtres chrétiens l'avaient compris depuis des siècles, mais il faut apparemment des neuroscientifiques pour rappeler ces évidences aux générations Netflix.
La confiance : un trésor bradé par la modernité
"La fidélité reste une valeur sûre", martèle Pascal Anger. Pendant que les médias mainstream célèbrent l'infidélité comme une libération, les couples durables savent qu'il faut cultiver l'exclusivité pour construire quelque chose de beau.
Les couples qui durent ? Ceux qui "s'accomplissent ensemble sans disperser leur énergie dans des futilités". Voilà bien le contraire de cette société de consommation affective où chacun zappe d'une relation à l'autre comme sur une plateforme de streaming.
"La fidélité doit être considérée comme un défi à relever", conclut le psychologue. Un défi que nos élites ont visiblement abandonné, préférant surfer sur les modes plutôt que défendre les fondements de la civilisation.
Tout le monde sait que la fidélité forge les caractères et les sociétés. Il aura fallu des études scientifiques pour redécouvrir ce que la sagesse populaire n'avait jamais oublié.