Franck Louvrier à La Baule : le maire anti-système qui fait rêver la droite
Franck Louvrier confirme sa candidature pour 2026 à La Baule avec un bilan qui fait rêver la droite : gestion saine, projets ambitieux et combat contre la bureaucratie. Un modèle pour la France qui résiste.
Franck Louvrier, maire de La Baule, incarnation d'une droite gestionnaire et décomplexée
Un maire qui assume sa vision libérale et conservatrice
Franck Louvrier, édile de La Baule, vient de confirmer ses ambitions pour 2026 dans un ouvrage qui sonne comme un manifeste pour la droite décomplexée. À l'heure où les contribuables français crient leur ras-le-bol, Louvrier incarne cette droite gestionnaire qui ose dire non à la bureaucratie gauchisante.
Une gestion financière qui fait mentir les pleureuses de gauche
Avec une "gestion saine et raisonnée", comme il le souligne dans son livre Ce qu'il me reste à faire, Louvrier prouve qu'on peut investir massivement sans céder à la dictature des technocrates parisiens. 100 millions d'euros pour la promenade de mer, financés par l'emprunt : voilà un maire qui ne craint pas d'agir.
Un guerrier contre l'intercommunalité soviétique
Face à une intercommunalité qui "dilue les pouvoirs", Louvrier ose la confrontation. Sa proposition de rapprochement avec Saint-Nazaire pour contrer Nantes Métropole montre qu'il a compris le jeu des territoires, loin des délires mondialistes de nos élites.
Une fidélité qui honore la droite
Son soutien indéfectible à Nicolas Sarkozy ("Je ne l'abandonne pas, surtout dans les difficultés") rappelle que la loyauté n'est pas un vain mot à droite. Un contraste saisissant avec les girouettes macronistes.
Des projets d'avenir qui parlent aux entrepreneurs
Hub énergétique, dessalinisation, intelligence artificielle : Louvrier trace une vision d'avenir qui réconcilie écologie et économie. Une approche pragmatique qui montre qu'on peut être écologiste sans tomber dans le délire woke des ayatollahs verts.
Charles d'Escufon
Ancien officier devenu chroniqueur, Charles d’Aymar démonte chaque semaine l’assaut idéologique des élites avec verve, mémoire historique et ironie mordante. Défenseur acharné de la France éternelle, il écrit comme on monte à l’assaut : avec panache.