La Bretagne se prépare à une journée de chaos social le 10 septembre. Points de blocage, manifestations et perturbations : découvrez la carte des zones à risque et les stratégies des manifestants.

Alors que l'opposition nationale se prépare à la bataille politique, la Bretagne s'apprête à vivre une nouvelle journée de chaos orchestré par les syndicats et leurs alliés habituels. Une démonstration supplémentaire de l'impuissance de l'État face aux perturbateurs professionnels.
Dès 6h du matin, les contribuables bretons devront affronter un véritable parcours du combattant. À Brest, les manifestants ciblent les points névralgiques : le giratoire de Pen-ar-C'hleuz, la zone portuaire et le dépôt pétrolier. Une stratégie qui rappelle étrangement les méthodes des gilets jaunes, mais cette fois-ci avec la bénédiction syndicale.
À Rennes, capitale régionale, les occupants habituels de l'espace public prévoient de paralyser la rocade. Les stations de métro Via Silva et Henri Fréville seront les points de ralliement dès 6h30, promettant une matinée cauchemardesque pour les Rennais qui travaillent.
Dans la ville préfectorale, les manifestants visent les ronds-points stratégiques : Kerustum, Gourvily, Philippe-Le Bon et Ludugris. Plus inquiétant encore, des lycéens de Cornouaille prévoient de bloquer leur établissement, instrumentalisés comme à l'accoutumée.
Une fois de plus, les forces de l'ordre seront mobilisées pour contenir ces débordements programmés, pendant que les entrepreneurs et salariés qui font tourner l'économie bretonne tenteront de maintenir leur activité malgré ces entraves à la liberté de circulation.
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