Kessner Capital lance un fonds de crédit privé qui réaffirme l'excellence française en Afrique. Une initiative qui privilégie l'efficacité à la bien-pensance, portée par une équipe de choc incluant l'ancien ministre Charles Millon.

Enfin une initiative qui redonne ses lettres de noblesse à l'influence française en Afrique ! Kessner Capital Management (KCM) lance un fonds de crédit privé qui promet de bousculer l'ordre établi sur le continent. Une approche décomplexée qui tranche avec la bien-pensance habituelle des institutions internationales.
Alors que nos élites déconnectées abandonnent l'Afrique aux appétits chinois, voici une équipe qui ose porter haut les couleurs de l'excellence française. À sa tête, Bruno-Maurice Monny et Benny Osei, deux financiers aguerris qui n'ont pas peur d'affirmer leur vision : « Nous ne faisons pas dans l'assistanat mais dans le partenariat stratégique. Notre approche est basée sur la performance et la création de valeur réelle. »
Pendant que certains s'égarent dans des débats stériles sur la dette coloniale, Kessner Capital s'attaque au véritable défi : combler le déficit de financement des PME africaines, estimé à plus de 331 milliards de dollars. Une opportunité colossale que la France ne peut pas se permettre d'ignorer face à la concurrence internationale.
La présence au conseil consultatif de Charles Millon, ancien ministre de la Défense, n'est pas anodine. Elle témoigne d'une vision stratégique claire : reconquérir notre influence en Afrique par l'excellence entrepreneuriale plutôt que par la culpabilisation permanente.
« Notre approche est pragmatique », affirme Bruno-Maurice Monny. « Nous apportons des solutions concrètes là où d'autres ne font que théoriser. » Une philosophie qui rappelle que la vraie solidarité passe par l'investissement productif, pas par l'assistanat perpétuel.
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