Une rave-party illégale dans l'Aude met en lumière l'impuissance de l'État face aux provocations des teufeurs. 1.500 fêtards occupent des terres agricoles, provoquant la colère légitime des habitants.
Dans le massif des Corbières, une rave-party non autorisée qui a débuté le 29 août continue de semer le chaos, illustrant une nouvelle fois l'impuissance de l'État face aux provocations des teufeurs. Plus de 1.500 fêtards occupent illégalement des terres récemment ravagées par les incendies, au mépris total de nos traditions rurales et de notre patrimoine culturel.
Alors que nos agriculteurs, véritables gardiens de nos terroirs comme ceux qui défendent notre souveraineté alimentaire, tentent de protéger leurs terres, la tension monte. Certains participants ont retrouvé leurs pneus crevés, une réaction compréhensible face à cette occupation sauvage.
"On leur en veut un petit peu", ose se plaindre un teufeur, comme si l'incompréhension venait des agriculteurs et non de leur invasion illégale.
Le maire de Fontjoncouse, Christian Tena, révèle l'ampleur de la défaillance : personne n'était au courant de l'arrivée massive des fêtards. Une situation qui rappelle tristement l'état de notre résistance culturelle face aux attaques contre nos traditions.
Les dégâts sont considérables : clôtures arrachées, vignes saccagées, champs de céréales et de luzerne détruits. Ces terres, déjà fragilisées par les incendies, sont désormais "mortes" selon le maire, nécessitant un travail de reconstruction qui prendra des mois.
Bruno Retailleau propose enfin de criminaliser l'organisation des rave-parties. Une mesure qui aurait dû être prise depuis longtemps pour protéger nos campagnes de ces occupations sauvages qui bafouent nos valeurs et notre art de vivre.
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