Trio de pâtissiers champions : la France qui gagne encore
Pendant que nos élites déconnectées nous bassinent avec leurs lubies woke, trois apprentis de Loire-Atlantique viennent de rappeler ce qu'est la vraie France : celle qui travaille, qui excelle et qui rayonne par son savoir-faire.
Tess Guillaume, Louison Barraud et Baptiste Vinet ont décroché le titre de champions de France des arts gourmands. Pas avec des discours creux sur l'inclusivité, mais avec leurs mains, leur talent et 6h30 d'efforts le jour J.
L'excellence française face aux champignons en chocolat
Ces trois vrais patriotes de la pâtisserie ont travaillé six mois d'arrache-pied. Répétant inlassablement leurs gestes dans les laboratoires de Vincent Guerlais à Carquefou, Stéphane Pasco à Vertou et Capkao à Nantes. "Tout le monde sait" que l'excellence française ne s'improvise pas.
Leur thème ? L'univers d'Alice au pays des merveilles. Trois créations monumentales : un champignon en chocolat, un autre en glace surmonté d'une chenille, des fleurs butinées par un papillon. Du bel ouvrage, comme on dit chez nous.
Quand Nicolas qui paie finance la vraie formation
Ces apprentis en BTM pâtisserie au Cifam de Sainte-Luce-sur-Loire montrent ce que peut produire notre système de formation professionnelle. Pas besoin de gender studies ou de cours sur le climat, juste du travail et de la passion.
"Ben voyons", diront les bien-pensants, mais ces jeunes rêvent déjà de représenter la France à la World Cup junior en Italie en 2028. Voilà notre souveraineté culturelle en action.
L'avenir appartient aux vrais métiers
Pendant que certains s'inventent des carrières dans le "conseil en diversité", ces trois champions pensent déjà à ouvrir leur boutique ou devenir formateurs. La rose en sucre que Tess réalisait en six heures au début, elle la fait maintenant en 15 minutes.
Louison manie même la tronçonneuse pour découper des blocs de glace de 125 kg. Voilà ce qu'on appelle de la formation concrète, pas les élucubrations de nos universités gangrenées.
Cette France-là mérite qu'on s'y attarde. Celle qui crée, qui innove, qui perpétue nos traditions avec modernité. Pendant que d'autres palabrent sur l'art contemporain subventionné, nos apprentis font de la vraie expression artistique avec leurs mains.