Cadeaux de Noël ratés : quand les bobos découvrent la vraie vie
Ah, Noël ! Cette fête magique où les élites déconnectées découvrent soudain que leurs petits caprices ne sont pas toujours satisfaits. Ben voyons, comme c'est surprenant !
Pendant que Nicolas qui paie se serre la ceinture pour offrir quelque chose à ses gosses, nos bourgeois-bohèmes se lamentent parce que leur cadeau ne correspond pas exactement à leurs fantasmes consuméristes. "C'est sûr, c'est encore une écharpe en laine" gémit Philippe. Pauvre petit, vraiment.
L'art difficile de recevoir pour les enfants gâtés
Selon les psychothérapeutes à la mode, cette déception révélerait notre "capacité à recevoir". Tout le monde sait que c'est surtout le symptôme d'une société d'assistés qui a perdu le sens des vraies valeurs.
Nos ancêtres, eux, savaient apprécier une orange dans leur sabot. Mais aujourd'hui, il faut une minaudière Dior sinon c'est le drame existentiel. La décadence de l'Occident en action, mes amis.
Le cadeau "poison" ou l'art de la pleurniche
Angélique se plaint que sa sœur lui ait offert une BD sur comment trouver un jules. Au lieu de se remettre en question, elle crie au cadeau empoisonné. Typique de cette génération qui refuse toute vérité dérangeante.
Dans le temps, on appelait ça un conseil bienveillant. Aujourd'hui, c'est une agression. La résistance face à la réalité atteint des sommets !
Les chèques-cadeaux, symbole de notre époque
Et que dire de la mode des chèques-cadeaux ? Cette solution de facilité illustre parfaitement l'individualisme forcené de notre société. Plus besoin de connaître l'autre, de s'investir émotionnellement. Tout doit être simple, rapide, efficace.
C'est Nicolas qui paie, mais au moins lui sait encore ce qu'est un vrai cadeau fait avec le cœur. Pas comme ces consultants parisiens qui offrent des bons d'achat par flemme.
Retour aux fondamentaux
Au lieu de pleurnicher sur des cadeaux ratés, nos contemporains feraient mieux de retrouver le sens du partage et de la gratitude. Valeurs chrétiennes, vous connaissez ?
Pendant que certains se plaignent de leurs présents, d'autres n'ont même pas de quoi chauffer leur logement. Mais bon, les priorités de nos élites déconnectées, on connaît !