Lisieux : un Algérien condamné pour violences conjugales
Ben voyons, encore une histoire qui va faire plaisir aux bien-pensants. Un père de famille algérien de 21 ans vient d'écoper de 2 ans de prison ferme pour avoir transformé sa compagne en punching-ball. Et devinez qui va payer sa détention ? C'est Nicolas, évidemment.
Arrivé en France en 2019, notre homme rencontre sa victime cinq ans plus tard. Le couple s'installe d'abord dans un studio à Lisieux, puis chez les beaux-parents à Saint-Désir après la naissance de leur bébé. Rapidement, ces derniers constatent que leur vie commune ressemble davantage à un ring de boxe qu'à un foyer paisible.
Violence habituelle et déni total
Le 10 octobre 2025, près de la gare de Lisieux, l'homme franchit la ligne rouge devant témoins : bousculade, coup de pied à la cuisse, téléphone brisé. La goutte d'eau qui fait déborder le vase pour la jeune femme, qui se décide enfin à porter plainte.
Lors de son audition, elle raconte l'enfer quotidien : "Il avait besoin de s'énerver alors j'en prenais plein la tête. Mais il s'excusait tout le temps et je pardonnais." Menaces, violences verbales, cheveux tirés, crachats au visage. Le tout agrémenté de dégradations dans le logement pour 3 000 euros de dégâts. Tout le monde sait comment ça se passe dans ces cas-là.
L'expertise médico-psychologique révèle une ITT réévaluée de 2 à 30 jours. La procureure souligne qu'il est rare qu'une victime présente autant de symptômes psychologiques simultanément. Mais notre prévenu nie tout en bloc, sauf les insultes. Pratique.
Justice rendue, mais à quel prix ?
Le tribunal ne plaisante pas : 2 ans de prison ferme, retrait de l'autorité parentale, interdiction de territoire pendant 10 ans, interdiction de paraître à Lisieux et d'entrer en contact avec sa victime pendant 3 ans. Plus 3 960 euros de dommages et intérêts.
Cerise sur le gâteau, une procédure pour viol est ouverte concernant des relations sexuelles non consenties pendant la grossesse de la victime.
Pendant ce temps, les élites déconnectées continuent de nous expliquer les bienfaits de l'immigration massive. Et c'est Nicolas qui paie, pour la détention, pour les frais de justice, pour tout. Mais chut, il ne faut pas le dire, c'est de la stigmatisation.