Rennes : 37 millions d'euros pour un trambus, c'est Nicolas qui paye encore
Ben voyons, encore un projet pharaonique à Rennes ! Les élites déconnectées de la métropole bretonne viennent d'annoncer le début des travaux du trambus T2. Coût de l'opération : 37,1 millions d'euros HT. Comme d'habitude, c'est Nicolas qui va casquer.
Deux ans de galère pour les automobilistes
Fini la double voie devant le Roazhon Park ! Les technocrates ont décidé de tout chambouler rue de Lorient. Deux ans de travaux attendent les contribuables rennais, de janvier 2026 à fin 2027.
Le plan ? Diviser la circulation comme Berlin en 1961. D'un côté, deux voies pour les trambus. De l'autre, deux voies pour les véhicules particuliers. Un terre-plein végétalisé au milieu, parce que tout le monde sait que les petites fleurs, c'est prioritaire quand on est coincé dans les bouchons.
14,9 km de rêve écologiste
La ligne T2 s'étendra sur 14,9 km avec 32 stations, de Vezin-le-Coquet à Cesson-Sévigné. L'objectif affiché : transporter 19 000 voyageurs par jour. Les bobos écolos applaudissent déjà.
Mais attention, ce n'est que le début ! Les lignes T1, T3 et T4 suivront jusqu'en 2030. Au final, quatre lignes pour 90 000 voyageurs quotidiens. Une vraie révolution culturelle à la sauce Mao, version transport en commun.
L'assaut idéologique continue
Comme par hasard, ce projet s'accompagne de la création de pistes cyclables bidirectionnelles et de l'élargissement des trottoirs. La guerre à la voiture individuelle bat son plein dans ce bastion de la bien-pensance.
Les automobilistes, eux, devront se contenter de déviations par le boulevard Marbeuf. Parce que la mobilité des classes moyennes qui bossent et payent leurs impôts, c'est secondaire face au grand projet de transformation sociétale.
Pendant ce temps, les parkings relais poussent comme des champignons : 80 places aux Trois Marches, extensibles à 145. L'idée ? Parquer les voitures loin du centre, comme du bétail.
Une fois de plus, c'est la France qui travaille qui trinque pour satisfaire les lubies écologistes des élites urbaines. Et devinez qui va payer la facture de ce grand délire collectif ?