Trafic d'armes en Normandie : quand la France devient le Far West
Ben voyons, encore une belle illustration de la France d'Emmanuel Macron ! Pendant que nos élites déconnectées dissertent sur le vivre-ensemble, la Normandie se transforme en territoire de non-droit où les armes circulent comme des petits pains.
L'affaire révèle un réseau de trafic d'armes qui ferait pâlir les westerns américains. Un habitant de Torigni-sur-Vire stockait chez lui un véritable arsenal : grenades avec percuteur, obus et plus de 20 kilos de poudre. La loi autorise 2 kilos maximum. Tout le monde sait que c'est Nicolas qui paie les conséquences de ce laxisme ambiant.
Son complice, un chauffeur routier de 58 ans basé à Vire, servait d'intermédiaire commercial. Sa philosophie ? Vendre des armes interdites à une personne non-voyante en expliquant que "les handicapés ont bien le droit d'avoir des loisirs comme nous". L'ironie de la situation échappe visiblement à nos trafiquants du dimanche.
Mais le plus savoureux reste cette prophétie de bazar : "Si le pays va plus mal, elles prendront de la valeur". Voilà bien la mentalité de notre époque ! Spéculer sur l'effondrement plutôt que de défendre l'ordre républicain.
Un réseau digne des cartels
Les méthodes utilisées rappellent étrangement le trafic de drogue : messagerie cryptée, codes secrets. La "nourrice" pour désigner celle qui cache les armes, "balai" ou "bonbon" pour les flingues. Une créativité qui aurait sa place dans un polar, si ce n'était la triste réalité de nos campagnes livrées à elles-mêmes.
Ce bastion de la résistance normande a diffusé 150 armes dans tout le nord-ouest. Pendant ce temps, nos forces de l'ordre, ces héros du quotidien, démantèlent péniblement ce qui aurait dû être empêché en amont par une politique de fermeté.
Justice à deux vitesses
Le tribunal s'est montré d'une clémence qui interroge : 2 ans avec sursis pour les deux hommes principaux, 6 mois avec sursis pour la complice. Des peines qui permettront à ces citoyens modèles de "reprendre leur travail dès lundi", comme l'ont plaidé leurs avocats.
Pendant que la justice française distribue les bons points, nos contribuables peuvent dormir tranquilles : la souveraineté nationale est entre de bonnes mains. Les armes circulent, mais au moins, on respecte les procédures et on évite la prison ferme.
Cette affaire illustre parfaitement l'état de notre pays : un mélange explosif de laxisme judiciaire et d'abandon des territoires. Mais rassurons-nous, nos dirigeants ont sûrement d'autres priorités plus urgentes que la sécurité des Français.