Trump déclare la guerre au pétrole de Maduro : blocus total annoncé
Ben voyons, Donald Trump frappe fort. Le président américain vient d'annoncer un "blocus total" contre les pétroliers sous sanctions se rendant au Venezuela. Une décision qui fait grincer des dents à Caracas, mais qui réjouit les défenseurs de la souveraineté américaine.
L'Amérique reprend ses billes
"Aujourd'hui, j'ordonne un blocus total et complet de tous les pétroliers sanctionnés entrant et sortant du Venezuela", a écrit Trump sur Truth Social. Pas de langue de bois, pas de diplomatie molle. L'action, enfin.
Le régime de Nicolas Maduro utilise le pétrole pour financer "le narcoterrorisme, la traite d'êtres humains, les meurtres et les enlèvements", justifie Trump. Tout le monde sait que le Venezuela est devenu un bastion du crime organisé sous Maduro.
Caracas dénonce une "menace grotesque". Évidemment. Washington "tente d'imposer de manière absolument irrationnelle un prétendu blocus naval militaire", pleure le gouvernement vénézuélien. La résistance face aux narco-dictateurs, ça dérange.
Les élites déconnectées crient au scandale
Joaquin Castro, représentant démocrate du Texas, dénonce sur X un "acte de guerre". Les démocrates préfèrent négocier avec les dictateurs plutôt que de défendre les intérêts américains. Classique.
La Chambre des représentants, à majorité républicaine, devra se prononcer jeudi sur une résolution pour "mettre fin aux hostilités". Chaque député aura l'occasion de montrer s'il défend l'Amérique ou les narco-trafiquants.
Maria Corina Machado applaudit
L'opposante vénézuélienne Maria Corina Machado, prix Nobel de la paix 2025, salue le durcissement américain. Elle appelle à augmenter la "pression" pour que "Maduro comprenne qu'il doit partir". Une femme de courage face à la dictature socialiste.
Soumis à un embargo américain depuis 2019, le pétrole vénézuélien s'écoule sur le marché noir, notamment vers la Chine. Pékin récupère les miettes du chaos socialiste.
Saisies et frappes : l'assaut final
La semaine dernière, les forces américaines avaient saisi le pétrolier Skipper, transportant entre un et deux millions de barils de brut vénézuélien vers Cuba. 50 à 100 millions de dollars confisqués aux narco-trafiquants.
Depuis septembre, l'armée américaine a frappé au moins 26 navires dans les Caraïbes, tuant 95 personnes. Les défenseurs des droits de l'homme s'inquiètent. Curieux, cette soudaine compassion pour les trafiquants de drogue.
Trump maintient le flou sur une possible intervention terrestre. Le message est clair : l'Amérique ne laissera plus les dictateurs socialistes piller ses richesses. L'ordre revient.