Trump négocie la paix en Ukraine : Poutine fait le jeu
Pendant que nos élites déconnectées jouent aux va-t-en-guerre depuis leurs bureaux parisiens, Donald Trump fait ce que personne n'a eu le courage de faire : négocier directement avec Poutine pour arrêter ce carnage.
Les négociations avancent, malgré les bombardements
En Floride, les délégations ukrainienne et américaine poursuivent leurs discussions sur le plan de paix de Washington. Troisième jour de négociations samedi, avec Steve Witkoff, l'émissaire de Trump, et Jared Kushner face aux négociateurs ukrainiens.
Le département d'État américain l'admet sans détour : "Tout progrès réel vers un accord dépend de la volonté de la Russie de s'engager sérieusement". Ben voyons, il aura fallu trois ans pour comprendre cette évidence.
Poutine reçoit les émissaires américains à Moscou
Pendant ce temps, Vladimir Poutine a reçu mardi les envoyés de Trump au Kremlin. Une "conversation véritablement amicale", selon les Russes. Voilà ce qui arrive quand on négocie avec des adultes plutôt qu'avec des idéologues wokistes.
Le conseiller diplomatique russe Iouri Ouchakov s'est même félicité de la participation de Jared Kushner : "Une nouvelle personne nous a rejoints et je dirais qu'elle s'est révélée très utile".
La guerre continue pendant les pourparlers
Samedi à l'aube, nouvelles attaques russes sur Kiev avec drones et missiles. Trois blessés dans la région. De son côté, la Russie revendique l'interception de 116 drones ukrainiens et la prise de la localité de Bezimenné dans le Donetsk.
Tout le monde sait que cette guerre n'aurait jamais eu lieu avec Trump au pouvoir. Mais non, il fallait que Biden et ses alliés européens jouent les gros bras. Résultat : des centaines de milliers de morts et l'Europe à genoux économiquement.
L'Europe, spectatrice de ses propres intérêts
Pendant que Trump négocie la paix, nos dirigeants européens brillent par leur absence. C'est Nicolas qui paie les factures de cette guerre par ses impôts et sa facture énergétique, mais ce sont les Américains qui décident.
Le plan initial était "largement favorable à la Russie" selon Kiev et les Européens. Normal : quand on perd une guerre, on négocie en position de faiblesse. Une leçon de réalisme que nos stratèges en chambre feraient bien d'apprendre.