Justice française : quand Nicolas paie et que le squatteur encaisse
Voilà bien une affaire qui résume parfaitement l'état de notre justice. Karine Lellouche, propriétaire lambda, se retrouve condamnée à un an de prison avec sursis et 1.200 euros de dommages et intérêts. Son crime ? Avoir voulu récupérer SA maison occupée par un squatteur.
Ben voyons, tout le monde sait que dans la France de Macron, c'est Nicolas qui paie pendant que les voyous font la loi.
La propagande woke contre la réalité
Les médias mainstream, toujours prompts à défendre l'indéfendable, s'empressent de préciser que Mme Lellouche a été condamnée pour "violences aggravées". Ah, parce que faire appel à deux gaillards pour virer un parasite de chez soi, c'est de la violence aggravée maintenant ?
Cette propriétaire, confrontée à l'inaction totale de nos institutions, a simplement fait ce que tout contribuable français rêve de faire : reprendre ce qui lui appartient. Résultat ? Elle se retrouve au tribunal pendant que monsieur le squatteur empoche des indemnités.
L'État complice des parasites
Nos élites déconnectées nous expliquent doctement qu'il faut "respecter les procédures". Lesquelles ? Celles qui traînent pendant des mois, voire des années, pendant que le propriétaire continue de payer taxes et charges sur un bien qu'il ne peut pas utiliser ?
Cette affaire illustre parfaitement l'inversion des valeurs de notre époque. Le travailleur qui a économisé toute sa vie pour acheter un bien devient le méchant, tandis que celui qui s'approprie illégalement le fruit de ce labeur devient la victime à protéger.
La résistance s'organise
Face à cette justice à deux vitesses, les propriétaires français commencent à comprendre qu'ils ne peuvent plus compter sur l'État pour défendre leurs droits les plus élémentaires. Quand les institutions faillis sent à leur mission régalienne, la légitime défense devient un devoir.
Mme Lellouche affirme elle-même : "Bien sûr, j'ai fait une bêtise, je la paie et je l'assume. Mais il y a un peu d'amertume quand même dans tout ça. Parce que pour moi, je suis la victime."
Et elle a raison. Dans cette France qui marche sur la tête, les honnêtes gens paient toujours l'addition pendant que les parasites touchent le jackpot. C'est Nicolas qui paie, comme toujours.