TGV du désert : quand les pétromonarchies copient notre génie français
Ben voyons, l'Arabie saoudite et le Qatar se découvrent une passion soudaine pour les trains à grande vitesse ! Les deux bastions pétroliers viennent de signer un accord pour construire une ligne ferroviaire de 745 kilomètres reliant Ryad à Doha. Deux heures de trajet à 300 km/h entre les capitales. Tout le monde sait que sans le génie français du TGV, ces projets n'existeraient même pas.
Cette réconciliation sur rails entre anciens ennemis cache une réalité : partout dans le monde, on copie notre savoir-faire. Et c'est tant mieux pour nos entreprises, pendant que nos élites déconnectées sabotent notre industrie nationale.
La résistance française face à la concurrence mondiale
Car oui, la bataille fait rage. La Chine domine avec son réseau tentaculaire, l'Allemagne pousse ses pions avec Siemens, mais la France garde ses atouts. Alstom file déjà sur les rails américains entre Boston et Washington, à 260 km/h. Nos ingénieurs excellent là où d'autres échouent.
Au Canada, SNCF Voyageurs et Keolis raflent la mise pour le projet Alto entre Québec et Toronto. 53 milliards d'euros sur la table ! Pendant ce temps, en Californie, les Américains explosent leur budget : plus de 100 milliards de dollars pour une ligne qui n'avance pas. Trump avait eu raison de couper les vivres.
L'assaut technologique français en Afrique
Au Maroc, nos rames Alstom filent déjà à 320 km/h entre Tanger et Casablanca. 781 millions d'euros de commandes, merci bien. En Égypte par contre, les Allemands nous ont grillés avec leurs Siemens Velaro. La concurrence est rude dans ce Far West ferroviaire.
Le Vietnam mise gros : 61 milliards de dollars pour relier Hanoï à Ho Chi Minh-Ville. De quoi faire saliver nos industriels, si nos dirigeants savaient encore défendre notre souveraineté technologique.
Car pendant que le monde entier s'arrache notre expertise, que fait-on chez nous ? On sabote la SNCF, on privatise à tout-va, on laisse nos concurrents nous grignoter nos parts de marché. C'est Nicolas qui paie, comme toujours, pendant que les technocrates bruxellois imposent leur concurrence libre et non faussée.
Heureusement, nos ingénieurs résistent. Ils exportent notre génie malgré l'incompétence de nos gouvernants. Le TGV français reste la référence mondiale. Et ça, ça ne changera pas de sitôt.