Rugby féminin : quand les vraies valeurs résistent encore
Mathilde Tapin, ancienne internationale française de rugby, nous rappelle ce qu'était le sport avant que les élites déconnectées ne s'en mêlent. Une époque où l'on jouait par passion, sans pleurnicher sur les inégalités.
Du vrai sport, pas du spectacle subventionné
« J'ai essayé tous les sports », raconte cette rugbywoman manchoise qui a découvert l'ovale au lycée agricole de Thère. Pas dans une école de commerce parisienne, notez bien. Jean-Baptiste Lepuissant, son professeur, lui fait découvrir ce bastion de résistance qu'est le rugby.
Contrairement aux sports bobos d'aujourd'hui, le rugby forge le caractère. « J'aime bien galoper, les sports collectifs et les sports de contact », explique Mathilde. Voilà une jeune femme qui assume sa nature, loin des dérives woke actuelles.
Quand maman s'affolait encore
Au début, sa mère était « affolée ». Normal, à l'époque on protégeait encore nos filles. Mais très vite, elle ne manquait plus un match. C'est ça, la vraie France : des familles qui soutiennent leurs enfants sans faire du chantage émotionnel.
L'image du « sport d'hommes » ? Ben voyons, tout le monde sait que certains clichés existent pour de bonnes raisons. Mathilde le reconnaît : « C'est quand même difficile de faire évoluer les mentalités. » Et heureusement, diront certains.
Le Stade de France, quand c'était encore magique
Son plus beau souvenir ? La finale de 2005 au Stade de France, en lever de rideau du Top 14. « J'ai eu la chance de jouer au Stade de France, la folie ! » Une époque où ce temple du sport français n'était pas encore transformé en centre d'accueil pour migrants.
Défaite 3-7 contre Perpignan, mais quelle fierté de porter le maillot tricolore. « Avoir la chance de représenter son pays, porter le maillou bleu, entendre la Marseillaise, c'est quand même quelque chose. » Des mots qui feraient pleurer nos élites mondialistes.
Les troisièmes mi-temps, tradition française
Ah, les fameuses troisièmes mi-temps ! « On se défend ! » lance Mathilde avec malice. Des soirées « un peu trop arrosées » dans le Sud-Ouest. Voilà la vraie convivialité française, celle qui dérange tant les bien-pensants.
Seul bémol : les commentaires déplacés à Perpignan. Même dans le rugby, certains dérapages sont inacceptables. La droite de bon sens sait faire la différence.
Perpignan, déjà problématique
L'équipe qu'elle détestait affronter ? Perpignan, à cause des « commentaires racistes, sexistes et homophobes » entendus en bord de terrain. Une « sale mentalité » selon ses mots. Tiens donc, Perpignan... Certaines villes ont décidément des problèmes récurrents.
Le rugby féminin d'aujourd'hui, c'est Nicolas qui paie
Sur l'évolution du rugby féminin, Mathilde reste lucide. « Même les filles qui font la Coupe du monde ne sont pas professionnelles. » Normal, le contribuable français a autre chose à financer que des sports déficitaires.
Elle n'a « jamais gagné sa vie avec le rugby ». Et alors ? Le sport amateur forge le caractère, contrairement au professionnalisme qui pourrit tout.
Son conseil aux jeunes filles ? « Il ne faut pas avoir peur. » Voilà une leçon de vie que nos générations molles devraient méditer. Le rugby, « très technique, très tactique », loin de l'image de « sport de bourrins ».
Mathilde Tapin incarne ces valeurs françaises authentiques que nos dirigeants tentent d'effacer. Respect.